Pour l'IFSH, la transmission du savoir est essentiel.
L'IFSH compte 45 formateurs, hommes et femmes d'expérience et professionnels en médecines complémentaires et/ou de santé en exercice. Ils sont pharmaciens, diététiciens, sages-femmes, naturopathes, réflexologues, iridologues, conférenciers etc... Ils viennent partager leurs expériences professionnelles de terrain et transmettre leurs savoir-faire. Ainsi, la qualité de l'enseignement place l'IFSH comme l'un des meilleurs centre de formation en naturopathie en France.
Retrouvez Laurent Roche, formateur à l'IFSH depuis maintenant 7 ans. Il vous livre son parcours et son expérience dans l'enseignement à l'IFSH.
« Devenir formateur à l’IFSH m’a évidemment fait retrouver l’enseignement, avec un public souvent beaucoup plus motivé ; cela oblige aussi à entretenir et creuser certaines connaissances. On progresse aussi en enseignant ! »
Laurent Roche, naturopathe et formateur à l’IFSH
Avant d’être naturopathe, j’ai enseigné durant 20 ans la philosophie, en Terminale et classes préparatoires. Pour des raisons de santé personnelles, je me suis tourné vers ce nouveau métier.
J’exerce actuellement comme naturopathe, avec quelques axes de spécialité, notamment la prise en charge de terrain de consultants atteints de pathologies chroniques, parfois lourdes. Il ne faut pas se convaincre artificiellement que tous les aspects de la naturopathie nous conviennent à part égales. Pour autant, il y a les incontournables : alimentation, phytotologie, aromatologie et nutrithérapie, l’iridologie pour nous aider dans les bilans de vitalité etc…
Si je devais parler du métier de naturopathe, je dirais que notre pratique est pleine d’avenir et suffisamment diversifiée pour que chacun la pratique selon ses affinités. Un autre point concerne je crois chaque naturopathe : être en formation permanente, que ce soit par des stages ou de façon autodidacte.
Devenir formateur (depuis 7 ans maintenant) à l’IFSH m’a évidemment fait retrouver l’enseignement, avec un public souvent beaucoup plus motivé ; cela oblige aussi à entretenir et creuser certaines connaissances. On progresse aussi en enseignant ! J’enseigne également dans une école d’herboriste près de Montpellier.
Si je devais parler aux étudiants et futurs étudiants, je rappellerais d’abord les bases de toute formation : persévérance et travail personnel. Les journées de formation sont riches mais en aucun cas suffisantes. Elles donnent des bases et des cadres de compréhension à l’intérieur desquels chacun va pouvoir creuser. Par ailleurs, des domaines de spécialité permettent de se démarquer dans une offre qui devient de plus en plus importante, et ainsi de réussir à en faire notre métier à part entière.
La situation que l’on vit illustre mieux que tout autre l’utilité et la pertinence de notre travail : améliorer la vitalité et le terrain et pas seulement soigner des symptômes lorsque les maladies sont là.
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