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Témoignage de nos formatrices IFSH : Amandine Béroudiaux, Patricia Leray et Lesly Louet

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Pour l'IFSH, la transmission du savoir est essentiel.

L'IFSH compte 45 formateurs, hommes et femmes d'expérience et professionnels en médecines complémentaires et/ou de santé en exercice. Ils sont pharmaciens, diététiciens, sages-femmes, naturopathes, réflexologues, iridologues, conférenciers etc... Ils viennent partager leurs expériences professionnelles de terrain et transmettre leurs savoir-faire. Ainsi, la qualité de l'enseignement place l'IFSH comme l'un des meilleurs centre de formation en naturopathie en France.

Retrouvez Amandine Béroudiaux, Patricia Leray et Lesly Louet. Elles livrent leurs parcours et leurs expériences dans l'enseignement à l'IFSH.


« Si j’avais un conseil à donner à une personne qui voudrait faire de la naturopathie, je lui conseillerais de faire ce métier par passion, de toujours rester connecté à son intuition et de faire preuve d’empathie. »
 
Amandine Béroudiaux, naturopathe et formatrice IFSH
 

« Depuis toute petite avec ma famille, nous avons toujours privilégié les médecines naturelles, certaines de mes aïeules sont de véritables bibliothèques en phytothérapie ou en homéopathie. Ce qui m’a convaincue, c’est l’approche holistique, qui s’inspire de la sagesse des médecines ancestrales comme l’ayurvéda ou la médecine traditionnelle chinoise.

Avant de découvrir la naturopathie, je me prédestinais déjà au soin car j’ai fait une école d’infirmière mais j’ai très rapidement compris que ce métier ne serait pas pour moi puisque je n'envisage pas le soin de cette façon. Je me suis dirigée vers la diététique qui n’a pas su me convaincre. A la fin de la première de BTS diététique, je découvre la naturopathie et je me souviens m’être dit: “c’est ça que je veux faire”. J’ai fait un cursus classique de naturopathie, puis d’aromathérapie obtenu en 2015, puis en 2017, j’ai obtenu mon certificat de thérapeute en méthode JMV. Actuellement, je suis donc naturopathe, formatrice en aromathérapie et phytothérapie pour plusieurs centres de formation dont l’IFSH depuis 2018 et également thérapeute de la méthode JMV. Sur le long terme, j’aimerais ouvrir un centre afin de proposer des cures type Panchakarma.

Pour être une bonne formatrice, il faut sans cesse se former. Pour beaucoup de choses, je suis autodidacte, la reconnaissance des plantes sauvages par exemple, je l’ai apprise toute seule, je lis beaucoup également, des études scientifiques, des thèses de doctorat et évidemment des ouvrages sur la santé. Je me forme en ce moment à la symptothermie afin d’accompagner les femmes dans la compréhension de leur corps. Grâce à l’IFSH, j’ai compris la nécessité de mettre à jour ses connaissances constamment car le milieu de la santé évolue très vite, et si vous campez sur vos acquis, vous êtes vite dépassé. Cela demande aussi beaucoup de rigueur car il faut vérifier les sources de tout ce que vous transmettez, et surtout cela m’a rappelé que la naturopathie ne s’apprend pas seulement sur une feuille de papier mais sur le terrain. Si j’avais un conseil à donner à une personne qui voudrait faire de la naturopathie, je lui conseillerais de faire ce métier par passion, de toujours rester connecté à son intuition et de faire preuve d’empathie. Je déplore que notre métier ne soit pas reconnu ou même encadré par le Ministère de la Santé, à l’instar de la Suisse, l’Allemagne, le Canada, la Belgique, le Portugal, cela empêcherait de nombreuses inégalités car toutes les formations en naturopathie ne se valent pas. 

“ La maladie c’est l’effort que fait le corps pour retrouver son équilibre” Carl Gustav Jung
Dans la langue des oiseaux, on appelle maladie: “Mal A Dit” »


« L’IFSH m’a permis de rencontrer des formateurs passionnés et passionnants. »

Lesly Louet, naturopathe, réfléxologue et formatrice IFSH

« J’ai exercé différents métiers au cours de ma carrière : assistante commerciale, chef d’équipe puis déléguée médicale. C’est ce dernier poste qui m’a donné envie de m’orienter vers la naturopathie. Mon métier consistait à susciter l’envie auprès de médecins généralistes d’aborder leurs patients d’une manière différente grâce à la nutrition, micro nutrition et phytothérapie, des domaines chers à la naturopathie. Leur donner les clefs pour aborder les pathologies courantes d’une manière holistique. Je me suis rendue compte que la médecine d’aujourd’hui se contentait de régler des symptômes et non des terrains. 

J’ai été certifiée du cursus Praticien en naturopathie à l’IFSH en 2015 puis j’ai effectué le cursus de praticien en réflexologie plantaire et palmaire à l’école ERVE en 2017. L’IFSH m’a permis de rencontrer des formateurs passionnés et passionnants. Aujourd’hui, je suis Naturopathe et réflexologue et formatrice IFSH depuis 3 ans. J’anime les modules d’alimentation, phytologie et nutrithérapie. J’ai pu remarquer qu’il existe maintenant un véritable engouement de la part du public pour la naturopathie. La situation actuelle me désole, je trouve dommage que des messages de prévention ne soient pas véhiculés. Le vaccin est la seule réponse du gouvernement alors qu’il y a tant à faire pour soutenir notre système immunitaire. Notre rôle est primordial, la naturopathie a de beaux jours. Si je devais donner un conseil à une personne qui songe à se reconvertir en naturopathe : croire en son projet. A long terme, j’aimerais maintenir mon activité et pourquoi pas ouvrir une boutique naturo ! »


« De belles rencontres, des profils de plus en plus variés, souvent des contacts qui restent actifs plusieurs années. Être formatrice, ce n’est pas qu’une question de savoirs, c’est une question de partage. »

Patricia Leray, naturopathe et formatrice IFSH

« Naturopathe depuis 2010, c’est la maladie, comme pour beaucoup, qui m’a amené à me reconvertir vers la naturopathie. J’avais auparavant fait des études de communication, et exercé en tant que chargée de communication dans un laboratoire pharmaceutique. Grâce à cette double compétence, je me suis naturellement fait connaître dans mon activité via l’animation régulière de conférences et d’ateliers. J’ai créé pendant 5 ans, un rendez-vous mensuel autour d’une thématique de santé naturelle à destination du grand public. L’objectif était de vulgariser le jargon médical, et de proposer une nouvelle façon de reprendre sa santé en main. La proposition de devenir formatrice pour l’IFSH s’est manifestée dans l’ordre logique des choses.

Je suis maintenant formatrice depuis plusieurs années en gestion du stress, hydrologie et création d’activité professionnelle. Mon objectif en tant que formatrice n’est pas simplement de transmettre du contenu et de remplir la tête des étudiants. A l’heure de Google, ceux-ci ont accès à beaucoup d’informations. J’invite à vivre une expérience interactive, ludique, expérientielle. L’objectif est de rendre les étudiants opérationnels et confiants dans leur capacité à créer une activité de naturopathie. 

La naturopathie vient questionner le vivant, et notre responsabilité individuelle et collective par rapport à la santé. C’est un enseignement transformant, qui permet à chacun d’évoluer en conscience et de se rapprocher de ce qui est vivant en lui. Comme il l’a été pour moi. J’aime accompagner les étudiants dans des prises de conscience. Il y a mille et une façon d’exercer la naturopathie. J’encourage les étudiants à construire le projet qui leur ressemble et qui les fasse vibrer. Pour cela une seule boussole : celle du corps ! Dans ma pédagogie, j’inclus systématiquement des mises en mouvement, en proposant des exercices de Brain Gym par exemple. J’intègre également des exercices en binôme, en groupe et favorise l’expérientiel. 

Le profil des étudiants a changé, plus d’hommes ont rejoint les effectifs (enfin !). La naturopathie n’est plus seulement une reconversion mais devient de plus en plus un premier choix d’activité. J’observe souvent que les étudiants actuels se réfugient dans une connaissance mentale de la naturopathie, et se projettent plus comme des experts en santé naturelle que comme des créateurs d’entreprise. Je vois trop souvent des étudiants avec le syndrôme de l’imposteur qui multiplient les formations pour tout savoir, sans jamais se lancer dans la réalité d’un cabinet. L’activité de formatrice est parfois challengente mais toujours très riche. De belles rencontres, des profils de plus en plus variés, souvent des contacts qui restent actifs plusieurs années. Être formatrice, ce n’est pas qu’une question de savoirs, c’est une question de partage. »

 

Retrouvez les autres témoignages de nos stagiaires et formateurs en cliquant sur ce lien.

L’IFSH est reconnu pour le sérieux et la qualité de ses formations 

ifsh affiliation APNF
 
 

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